L’Ouverture economique, facteur d’échec et de déperdition scolaire en Algérie

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La Société Algérienne a connu depuis une vingtaine d’années le passage à l’ouverture économique, un changement en faveur du libéralisme de l’économie de marché.

Une économie voulue créatrice de richesses assurant un développement équitable à travers le pays et un meilleur niveau de vie aux citoyens.

Ce processus d’ouverture économique s’est traduit par l’instauration de la liberté des prix du marché, la démonopolisation des activités économiques et commerciales et l’ouverture aux privés avec de plus en plus d’avantages financiers et fiscaux.

L’évolution de ce libéralisme et de cette ouverture de l’économie reste sans perspective sociale, un libéralisme semeur de pauvreté et d’exclusion, c’est une ouverture qui a accentué la misère.

Une triste réalité qui complique la situation des pauvres mais aussi des moins pauvres et des modestes.

C’est une situation qui génère la misère sociale qui s’étend avec de plus en plus de chômage et de licenciement.

Le libéralisme économique de l’Algérie est responsable de la crise dans la société dans toutes ses contradictions familiales, scolaires et urbaines.

Parmi les contradictions que vit la famille Algérienne, les contraintes sociales et financières que les parents n’arrivent plus a surmonter pour assurer les exigences de scolarité des enfants ou pour se nourrir correctement, s’habiller, se déplacer, se soigner et se loger dignement.

Chacun peut constater autour de soi le désarroi des familles et leur détresse pendant les rentrées scolaires ou à l’occasion des différentes fêtes Les dégâts qu’engendrent l’ouverture et le libéralisme économique sont les inégalités sociaux, l’échec social et la violence dans toutes ses formes, et de ce fait la misère est une réalité et un effet négatif qui influence le social, l’éducatif, le scolaire et le culturel.

Les pauvres sont désormais face à la cherté de la vie, les contraintes du marché, les insuffisances financières, l’échec scolaire des enfants et la difficulté de ceux-là à l’intégration sociale et professionnelle.

Tous ces pauvres sont en souffrance physique et psychique à cause des exigences, les priorités, les achats urgents et les dépenses qu’ils doivent assurer, et les enfants sont aussi pour ce que sont leurs parents.

Nous résumons pour dire que l’ouverture économique, le libéralisme, le capitalisme constituent un trio d’enfer pour les familles de pauvre en Algérie, parallèlement à cela de nouveaux riches se permettent le luxe et l’enrichissement.