Violence as Counter- terrorism in Yasmina Khadra’s The Sirens of Baghdad

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Le roman de Yasmina Khadra, Les Sirènes de Bagdad, qui se déroule dans un contexte postcolonial, tente d'expliquer la violence odieux en Irak après l'invasion américaine.

Le roman justifie que la résistance des Irakiens, qui ont souvent recours à des attentats-suicides violents, est un acte inévitable de lutte contre le terrorisme, parce que les États-Unis ont commis des crimes terroristes horribles contre des civils.

Ainsi, le roman de Khadra démystifie le mythe occidental que le terrorisme dans le monde arabo-islamique est le résultat de la pauvreté et de l'intégrisme islamique.

De la plus haute importance, le document témoigne que la violence est le résultat du choc de la civilisation, qui est l'un des principaux motifs de l'occupation Américaine de l'Irak.