Le Prix Nobel de la Paix et L’Algérie : une distinction manquée ?

الملخص FRE

Le Prix Nobel de la paix se veut être une récompense en même temps qu’une double reconnaissance éthique et universelle.

Une distinction décernée chaque année par l’académie royale des sciences à Stockholm à toute personne physique ou morale ayant œuvré de manière significative pour la promotion de la paix dans le monde.

L’Algérie après avoir réussie une résolution des conflits tant en interne avec une politique du pardon (loi de « Rahma », de la « concorde civile » et de la « réconciliation nationale »), qu’en externe avec une diplomatie de la paix (médiation réussie entre « l’Ethiopie » et « Erythrée », contribution à la construction de « l’union Africaine » et du « Nepad ») était « éligible » et en « pole position » pour l’obtention de cette distinction, que seule une attitude idéologique ou sectaire du jury pouvait empêcher - et c’est ce qui s’est produit de 2005 jusqu’en 2009.

La nomination précipitée du président Américain Obama en 2010 avant même qu’il ait commencé à exercer véritablement ses fonctions Illustre le niveau de dévoiement atteint par cette institution.

Il est clair qu’une alternative doit être recherchée en urgence notamment par les Africains, le monde Arabe et Asiatique pour créer une institution chargée de promouvoir une distinction et récompense pour les « justes » de toute l’humanité.