الفقارة و دورها في الاستيطان و هيكلة البناء الاجتماعي في القصر من خلال نظام "الخراصة" : قراءة سوسيولوجية لمجتمعات "توات" في بلاد "القصور" أدرار

Abstract FRE

Le facture primordial pour la stabilité humaine et la ville, et l’apparition de nouvelles villes (KSOURS) au Sahara dans le sud oust algérien est L’eau.

à Adrar et particulièrement à Touat, la culture de l’eau est ancestrale et la vie a toujours été organisée autour les points d’eau, les sources et auprès des oueds comme: « oued Gir , oued Massoud, oued Essawra …..etc.

Au bord des ces oueds, l’homme a établit plus de 300 agglomérations d’habitation qu’on appele(KSARs), de Timimoune de l’ouest jusqu'à Ain Saleh à l’est , a travers cette région on trouve plusieurs dénominations de localités et de certains villages qui commencent par « Ain » comme Ain Saleh , plusieurs « Ksars » ont des noms composés de « Bir » certains commencent par « Hassi » et d’autres qui débutent par « Ighezer » à Timimoune .

Grâce de ces points et ces sources, l’habitat commence à prendre la forme d’une ville, car l’eau et les palmiers ont été leur base principale.

Après le période de la sécheresse et le tarissement des oueds, les hommes allaient trouvé un autre moyen ingénieux en créant " Elfoggarat"" pour assurer et continuer sa vie dans ce milieu écologique aride.

- la ville saharienne est une ville des oasis, l'eau fut la base principale pour l’organisation du "KSAR", de même que celui-ci a évolué architecturalement en fonction de la source hydrique.

En outre la répartition de l’eau destinée à l’irrigation a influencé la classification sociale.