Les dépenses fiscales comme outil d'aide à booster l'investissement cas de l'algérie tax expenditures as a tool to help boost investment : case of Algeria

Abstract FRE

Une politique fiscale bien établie permet de contrôler le comportement des agents économiques et par suite atteindre les objectifs souhaités en termes de développement économique.

Parmi les mesures fiscales les plus adoptées ces dernières années, « les dépenses fiscales ».

Ces avantages fiscaux constituent un outil important à la promotion de l'investissement des secteurs et des zones géographiques qui sont moins attractifs et dont la rentabilité est peu considérable.

Avec la privatisation des entreprises, l'intérêt de l'Etat s'est donc dirigé vers la promotion de l'investissement en leur accordant un volet important d'incitations par les différentes dispositions fiscales ainsi que la mise en place d'un nombre de dispositifs dont le rôle est de promouvoir l'investissement et d'accompagner l'investisseur.

L'article essaye d'identifier et de recenser les dépenses fiscales et d'en évaluer ou estimer leur coût, qu'est l'objet de notre étude.

Cette dernière sera portée sur le cas de l'AlgérieA well-established tax policy makes it possible to control the behavior of economic agents and consequently to achieve the desired objectives in terms of economic development.

Among the most adopted tax measures in recent years, "tax expenditures".

These tax advantages are an important tool for promoting investment in sectors and geographical areas that are less attractive and whose profitability is low.

With the privatization of companies, the interest of the State has therefore been directed towards the promotion of investment by granting them an important component of incentives through the various fiscal provisions as well as the setting up of a number of schemes whose role is to promote investment and support the investor.

The article attempts to identify and identify tax expenditures and to evaluate or estimate their cost, which is the subject of our study.

The latter will be focused on the case of Algeria,