التناص القرآني في الخطاب النقدي لمارون عبود

Abstract EN

The screams of modern criticism call for the removal of the boundaries between the creative text and the critical text.

This latter has ceased to present itself with a discourse that dominates the scepter of power and has a denial in his language, to a transcendent discourse that defies the literary creativity in its peculiarities and that is language and fiction.

The critical discourse has proved that it is like all the other discourses, especially the literary ones because it writes with its memory that memorizes texts, images, voices and echoes piled together.However, the critical discourse has become like a carnival as described by Bakhtin - and because MarounAbboud's critical discourse was a space or a theater for accommodating absent texts and a diverse textual coexistence, especially the Qur'anic text, which was a colorful phenomenon.

We considered pursuing this phenomenon by criticizing MarounAbboud for observing these forms, which varied between interaction and textual transcendence with the Qur'an.

Abstract FRE

Les cris de la critique moderne appellent à la suppression des limites entre le texte créateur et le texte critique.

Ce dernier a cessé de se présenter avec un discours qui domine le sceptre du pouvoir et possède du déni dans son langage, à un discours transcendant qui défie la créativité littéraire dans ses particularités et c’est le langage et la fiction.

Le discours critique a prouvé, qu’il est comme tous les autres discours, notamment littéraires car il écrit avec sa mémoire qui mémorise des textes, des images, des voix et des échos entassés ensemble.

Cependant, le discours critique est devenu comme un carnaval comme décrit par Bakhtine - et parce que le discours critique de MarounAbboud était un espace ou un théâtre pour accueillir des textes absents et une coexistence textuelle diverse, en particulier le texte coranique, qui était un phénomène de couleur.

Nous avons envisagé de poursuivre ce phénomène en critiquant Maroun Abboud afin d’observer ces formes, qui variaient entre l’interaction et la transcendance textuelle avec le Coran.