Images trompeuses, images tournées & détournées

Abstract FRE

RÉSUMÉ Après avoir rempli darant des millénaires ane fonction avant tout symbolique, l'image s'est réveillée au XIXe siècle de son semell de Belle au boisdorment pour entrer dans le monde bratel de la communication.

là où jadis il y avait un lien immédiat avec une représentation signifiante l'ordre du flow le plus total s'établit désormais avec fracas : l'image, tout en se dit, se déte dans l'univers fugace et immatériel de l'imaginaire, hors d'atteinte de tout seas précis, et devient une sorte de nébuleuse à la dérive prise à accesser à n'importe quelle rive de signification l'invention de la photographie et du cinématographe a sembléà première vue, la fixer à nouveau, lui redonner un sens précis, ne serait-ce que pour occuper la fonction de sinalacre cependant, l'ère de la reproductibilné technique de l'image, l'a éloignée définitivement de tout ancrage, jusqu'à ce que le monde des écrans anciens (téléviseurs) et nouveaux (ordinateurs, smartphones et celui des tout récents expreces audiovisu virtuels et augmentés (misavers sonnent paradoxalement san glas par une sœniprésence ad nauseam la désinformation et la manipulation per l'image ont ainsi trouvé un terrain fertile dans ce neve contexte andioriel et communicationnel : le fax devient vrai, le volantéresse plus personne me contribution se concentrer sur la présentation et l'analyse d'un faux documentaire, un documenteur' écrit et réalisé par William Karel : opération une, toarné en 2002, coproduit per ARTE et la société de production Point du Jour, et sorti en octobre de la wewe nie.

La thèse de base de ce cansler-aquel ont cra de nombreux spectatears après avoir va le film pour la première fois-est que les Américains n'ont jamais atterrisar la luxe en 1969.

Craignant un échec de la mission d'Apollo 11 et une défaite dans la course à l'espace contre l'URSS, ils auraient commandité à Stanley Kubrick – qui, avec son L'Odyssée de l'espace (1958), venait de faire ses preuves en ma qu'apprenti-sorcier des imaginaires interstellaires-à filmer une scène d'atte fictionnel dans les studios de son manair isolé de la campagne anglaise afin de convaincre la planète entière que c'étaient bel et bien eux qui avaient accomplice explait jusqu'alors IN-IMAGINE.

Le documentaire de William Karel lie de manière estuciense des interviews réels avec des images d'archives (réelles), effectue des tracages, applique des techniques de montage plutôt propres à la fiction et fait agir une série de clins d'arilapte à déclencher les délires conspirationnistes les plus fous alas, William Karel a créé un foxe qui est AUSSI as wal : un wal satila décortiquer la manipulation par les images propre à engendrer an regard qui nous permet de nous étonner malicieusement de la bêtise humaine, la nitre, celle qui ve toujours croire au lieu de penser.