L'héritage parental et son effet sur Annie Ernaux dans "la place"

Abstract EN

Annie Ernaux, the slippery writer from the misery of the working class to the beauty of the bourgeoisie.

This writer lived under the care of her parents, who devoted their efforts to having a stable life similar to the life of the bourgeois class, but there the environmental impact, the cultural base and the poverty prevented it.

The entry of the writer into the monastery school and her accompaniment with the sons of the bourgeois class was the first reasons that fueled her feeling of alienation and the miserable life she leads in relation to her colleagues.

This comparison made her resentful of her parents, as she compares her friends' mothers and fathers who speak kindly to their daughters, and her father's harsh and rude words.

All these events prompted the writer to escape from the working class to the bourgeoisie.

The narrator was angry at the father's language and behavior, and even at the deceitful language he was using, describing her father as shy and silent in front of people he thought were important.This research will approach the subject of the parental heritage at Ernaux in his novel La Place which will be realized through the personal effects on his life.

Moreover, a retracing of the manifestations of the influence of social class on the author is done in the research without for getting the theme of religion, its role and its relationship with social class.

The researcher will discuss the scope of the convenience of the style used by the author in order to convey the image of the social world in the novel.

The state of Ernaux s psychological division will take in itself a reason for the mobility in the class it has known.

Abstract FRE

Annie Ernaux, l'écrivaine glissante de la misère de la classe ouvrière à la beauté de la bourgeoisie.

Cette écrivaine a vécu sous la garde de ses parents, qui ont consacré leurs efforts à avoir une vie stable semblable à la vie de la classe bourgeoise, mais là l'impact environnemental, le fondement culturel et la pauvreté l'ont empêché.

L'entrée de l'écrivaine à l'école du monastère et son accompagnement avec les fils de la classe bourgeoise ont été les premiers motifs qui ont attisé son sentiment d'aliénation et de la vie misérable qu'elle mène par rapport à ses collègues.

Cette comparaison l'a rendue rancunière envers ses parents, car elle compare les mères et les pères de ses amis qui parlent gentiment à leurs filles, et les paroles dures et grossières de son père.

Tous ces événements ont été un motif pour l'écrivain d'échapper à la classe ouvrière vers la bourgeoisie, de sorte que le narrateur en voulait au langage et au comportement du père, et même au langage de tromperie qu'il utilisait, décrivant son père "devant les personnes qu’il jugeait importantes, comme un homme d’un raideur timide, qui ne pose jamais aucune question".(La Place,P.60) Dans cette recherche, l chercheur abordera le sujet porté sur l'héritage parental chez Ernaux dans son roman "la Place", ce qui se réalisera en passant par les effets personnels sur sa vie.

D’autre part un retracement des manifestations de l'influence de la classe sociale sur l'auteur se fait dans la recherche sans oublier le thème de la religion son rôle et son rapport avec la classe sociale.

Le chercheur se livrera également sur la portée de la commodité du style employé par l'auteur afin de véhiculer l'image du monde social dans le roman.

L'état de la division psychologique d'Ernaux prendra en soi une raison de la mobilité dans la classe qu'elle a connue.