النشاط التجاري التونسي خلال العهد الحسيني 1117-1246 ه 1705-1830 م

Abstract FRE

Generalement, l’économie se base sur un ensemble d’éléments essentiels, comme l’agriculture, la production et le commerce intérieur et extérieur.

Le développement des pays se base sur la disponibilité de ces éléments ainsi que la capacité des individus de les exploiter pour son propre intérêt, et à chaque fois que ces éléments sont disponibles et bien contrôlés, le niveau de vie s’améliore.

L’économie de la Tunisie se base principalement sur l’agriculture en raison de l’abondance des terres agricoles fertiles et du climat propice pour la diversification des récoltes et du développement de la production, chaque région était spécialisée dans la production d’un élément agricole spécifique .La majorité des plantations des habitants étaient : l’orge, le blé dur, les légumes secs et les légumes a cote des arbres fruitiers comme l’olivier d’autres richesses agricoles que recèle la Tunisie.

La communauté tunisienne a connu des productions artisanales qui puisent leurs ressources premières de la production agricole et animale et le mérite revient à l’intelligence des familles tunisiennes dans l’édification dune production utile pour leur vie quotidienne.

Les beys Husseinite se basaient sur toutes ces ressources du commerce intérieur et extérieur dans le but de hisser le pays au rang des pays développés, et mettre en œuvre une base solide pour l’économie Tunisienne car le pays et sa prospérité résident dans une renaissance économique nationale qui lui permettra de récupérer son bien être et raviver toutes ses forces perdues.

Le commerce a permis à la Tunisie de tisser de nouveaux liens entre la Tunisie et quelques pays européens dans le domaine des échanges des productions que recèlent la Tunisie.

Cette activité est connue sous le nom de commerce extérieur.

Ceci dit, les Beys ont mis en œuvre des facilités pour édifier des marchés à l’intérieur des villes ,faciliter l’échange des marchandises, et rapprocher les zones lointaines comme le Sahara à travers ce qu’on appelle le commerce intérieur.