Limite de la traduisibilite de l’equivoque et de la parodie dans la poesie prevertienne : Poème : «Fleurs et couronnes» de Jacques Prévert et sa traduction en langue arabe par Sayah El Djahim
Author
Source
Issue
Vol. 2016, Issue 7 (31 Dec. 2016), pp.15-30, 16 p.
Publisher
University of Algiers 2 Abu El Kassem Saadallah Institute of Translation
Publication Date
2016-12-31
Country of Publication
Algeria
No. of Pages
16
Main Subjects
Languages & Comparative Literature
Abstract FRE
Jacques Prévert , est le poète le plus populaire de son temps, il est connu par son style simple qui puise de la force du peuple, et du quotidien, c’est un poète qui a bouleversé les règles linguistiques et celles des versifications, il nous a, depuis toujours, fasciné par sa poésie surprenante voire déroutante, qui suscite un effort de part le lecteur curieux, complice, qui tend à déchiffrer les codes d’une manipulation ingénieuse de la langue.
Lire Prévert c’est adhérer à ce mélange soigneusement construit qui fait appel à l’abstrait par le biais du concret, c’est planer dans ses jeux de mots intelligents, décoder calembours et double sens savants.
Lire Prévert c’est adhérer à son humour parfois noir, sa créativité, son écart stylistique intelligent et inventif.
Lire Prévert c’est apprendre à connaître les peuples, dénoncer guerres et injustice, confondre le fond avec la forme, l’ironie avec le sérieux.
Lire Prévert c’est susciter plusieurs questionnements et faire mille et une interprétation.
Traduire, dès lors Prévert, c’est défier le génie créateur, la construction soigneusement expressive et la sonorité signifiante, traduire Prévert c’est se heurter au phénomène de l’intraduisibilité, étant donné que les jeux de mots, rimes, calembours et autres sont parfois difficiles à transmettre voire intraduisibles.
A travers notre analyse du poème « Fleurs et couronnes » de Jacques Prévert traduit en langue arabe par Sayyah El Djahim, nous allons tracer les limites de la traduisibilité de sa poésie en général, surtout lorsqu’il s’agit de la dimension symbolique,la double signification « équivoque », et la parodie : analyser les solutions apportées par le traducteur et à portée de celui-ci, et comprendre comment à t’il tenté de résoudre le problème de l’intraduisibilité afin de transmettre le génie de Prévert au monde arabe.
American Psychological Association (APA)
Bin Ali, Samirah Muhammad. 2016. Limite de la traduisibilite de l’equivoque et de la parodie dans la poesie prevertienne : Poème : «Fleurs et couronnes» de Jacques Prévert et sa traduction en langue arabe par Sayah El Djahim. Cahiers de Traduction،Vol. 2016, no. 7, pp.15-30.
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Modern Language Association (MLA)
Bin Ali, Samirah Muhammad. Limite de la traduisibilite de l’equivoque et de la parodie dans la poesie prevertienne : Poème : «Fleurs et couronnes» de Jacques Prévert et sa traduction en langue arabe par Sayah El Djahim. Cahiers de Traduction No. 7 (2016), pp.15-30.
https://search.emarefa.net/detail/BIM-858446
American Medical Association (AMA)
Bin Ali, Samirah Muhammad. Limite de la traduisibilite de l’equivoque et de la parodie dans la poesie prevertienne : Poème : «Fleurs et couronnes» de Jacques Prévert et sa traduction en langue arabe par Sayah El Djahim. Cahiers de Traduction. 2016. Vol. 2016, no. 7, pp.15-30.
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Data Type
Journal Articles
Language
French
Notes
Includes bibliographical references : p. 30
Record ID
BIM-858446