محكي الحياة بين التخييل الذاتي و المرجعية الواقعية

Abstract FRE

L’écriture narrative autobiographique s’inscrit au sein d’un genre d’écriture global intitulé « l’écriture sur soi » ou « le récit sur soi » Cette expérience est basée sur la référence du « Moi » pour définir son existence, et raconter son histoire personnelle par rapport à l’histoire collective.

Puisque l’écriture contemporaine à pour objectif la synthèse des connaissances et l’interaction des genres, la logique la plus importante sur laquelle repose l’écriture sur soi a été la logique de corrélation qui combine l’autobiographie comme étant une écriture sur le « moi » avec ses références réalistes, et sa concordance entre le soi du narrateur, celui de l’auteur et de la personnalité, et l’autofiction comme étant un pilier majeur dans l’écriture narrative postmoderniste.

Cet article scientifique, à la base, aborde le problème de l'homogénéisation dans l’écriture narrative, où l’autofiction s’entremêle avec l’autobiographie pour créer une sorte de corrélation entre la réalité et l’imagination.

Si tel est le cas, comment se différencie l’écriture narrative, et quelles sont les techniques d’écriture autobiographique? Quelles sont les limites entre « l’écriture autobiographique » et « l’autofiction »? Afin de répondre à ces questions, nous avons eu recours au texte saoudien censuré qui a provoqué un tollé dans la société du Golfe arabe intitulé "Les filles de Riyad" de Rajaa Al-Sanea Dans ce contexte, mon intervention s’intitule : « récit de la vie entre l’autofiction et la référence réaliste» Elle s’articule comme suit : Premièrement : les techniques d’écriture et la Charte de autobiographique.

Deuxièmement : l’esthétique de autofiction