L'aliénation dans "le dernier colonel" de Jean Lods et " il était une fois un vieux couple heureux" de Mohamed Khaïr Eddine

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Cet article aborde l’aliénation dans les deux romans’le dernier colonel’ et’ il était une fois un vieux couple heureux’.

ce concept a beaucoup d’interprétations : l’aliénation économique, sociale et psychologique.

dans une perspective comparative, nous nous proposons de situer les textes dans leurs contextes : la stérilité des rapports, la vieillesse, le sentiment d’être étranger et les dérives entre cauchemars et hallucinations tout en prenant en considération le vécu des deux auteurs.

et pour cerner notre problématique, nous procèderons à une analyse des techniques de la structure narrative et des figures stylistiques de l’aliénation.

c’est dans le cadre spatio-temporel que nous procédons à disséquer l’âme des personnages : la représentation élevée de la forteresse et de la terrasse est dotée d’un potentiel symbolique qui sert à inspirer la distance psychique et dans lequel les protagonistes désirent se recroqueviller.

de plus, la temporalité se prête à l’étude de l’aliénation en embrassant la nuit, le moment propice de l’errance.