L’écriture de l’exil chez dib, cas du roman <> 1977>>

المؤلف

Lahcene, Zahrah Sharzad

المصدر

al-Athar

العدد

المجلد 2014، العدد 19 (31 يناير/كانون الثاني 2014)، ص ص. 15-24، 10ص.

الناشر

جامعة قاصدي مرباح ورقلة كلية الآداب و اللغات

تاريخ النشر

2014-01-31

دولة النشر

الجزائر

عدد الصفحات

10

التخصصات الرئيسية

الآداب

الموضوعات

الملخص FRE

Les productions qui ont suivi le départ de Dib de sa terre natale expriment le début de la transformation opérée sur ses écrits, l’Algérie n’est désormais plus l’unique espace référentiel.

L’expression se déplace vers l’exploration des territoires de l’exil,-lieu de la perdition identitaire, de la quête acharnée d’un nouveau moi- et s’octroie une reconnaissance internationale à effet double ; l’oeuvre de Dib suscite l’intérêt de grands chercheurs dans le monde de la francophonie et l’écrivain est reconnu comme le représentant par excellence de la littérature maghrébine d’expression française.

Période dite de renouvellement, l’est de fond mais surtout de forme .Un simple survol de l’oeuvre romanesque « cycle de l’exil » laisse apparaître une transformation de l’écriture devenue plus élaborée par ses techniques d’où découle une manifestation esthétique qui préconise une angoisse existentielle qui plonge l’homme dans une insignifiance et l’oblige à se réfugier dans la folie ou plus radicalement dans la mort.

« Habel » parut en 1977, est une interrogation où il n’est plus question de distinguer le bien du mal mais de s’interroger sur la raison qui légitime, sans possibilité au choix, le pourquoi devoir en passer par là ? Entouré dans le cadre fictionnel par Sabine, le vieux ou encore, Lily et le frère que seuls ses discours racontent, Habel est ce jeune émigré, solitaire qui se cherche n’ayant d’autres certitudes que celle de devoir s’interroger sur le monde.

Sujet devenu objet, spectateur de sa propre vie, Habel est un personnage ingérable du fait qu’on ne sait pas qui le parle, il est à la fois celui qui voit, celui qui dit et celui dont il s’agit.

La parole d’ Habel se traduit par un silence qui n’est pas moins expressif si l’on se réfère à la paire d’yeux dont il dispose dans le roman.

La notion de regard dans « Habel », très présente dans d’autres écrits encore, prend de l’ampleur dans toute l’oeuvre dibienne et devient la caractéristique de ses personnages.

نمط استشهاد جمعية علماء النفس الأمريكية (APA)

Lahcene, Zahrah Sharzad. 2014. L’écriture de l’exil chez dib, cas du roman <> 1977>>. al-Athar،Vol. 2014, no. 19, pp.15-24.
https://search.emarefa.net/detail/BIM-341142

نمط استشهاد الجمعية الأمريكية للغات الحديثة (MLA)

Lahcene, Zahrah Sharzad. L’écriture de l’exil chez dib, cas du roman <> 1977>>. al-Athar No. 19 (Jan. 2014), pp.15-24.
https://search.emarefa.net/detail/BIM-341142

نمط استشهاد الجمعية الطبية الأمريكية (AMA)

Lahcene, Zahrah Sharzad. L’écriture de l’exil chez dib, cas du roman <> 1977>>. al-Athar. 2014. Vol. 2014, no. 19, pp.15-24.
https://search.emarefa.net/detail/BIM-341142

نوع البيانات

مقالات

لغة النص

الفرنسية

رقم السجل

BIM-341142