سلطة الضحية في إنهاء الدعوى العمومية

Abstract FRE

Le législateur marocain a jeté son dévolu sur le simple auteur de l’infraction, qui était la victime afin d’atteindre un équilibre relatif entre lui et l’accusé, car cela lui a permis d’avoir un ensemble de droits, dont le plus important était d’engager des poursuites publiques et de concurrencer le procureur à cet égard.

Avoir un rôle positif et pas aussi négatif que certains pourraient le penser.

Le législateur marocain ne s’est pas arrêté à la fin de sa reconnaissance du droit de la victime à engager un procès public par le biais d’une plainte restreinte auprès du ministre public concernant des crimes spécifiques exclusivement, mais lui a plutôt donné le pouvoir d’y mettre fin soit , de sa propre volonté par renonciation ,soit en accord avec l’accusé pour conclure un rapprochement lorsque les conditions des deux méthodes sont réunies.

Ce droit reconnu de la victime n’était ni absurde ni arbitraire, mais il contient de nombreux avantages et objectifs bénins qui ne se reflètent pas seulement sur la victime elle-même, mais sont plutôt considérés comme l’une des tendances majeures de la politique pénale moderne.