الحرية الدينية : حق من حقوق الإنسان أم قدر الإنسان ؟

Abstract FRE

Il ne fait pas de doute que la liberté religieuse fait partie des droits fondamentaux de l'homme mais historiquement, ce droit n'est pas considéré comme une évidence.

La «Ridda» (Apostasie) en est un exemple; car cgux qui ont justifié- et continuent à le faire- la condamnation à mort pour ceux qui renient leur religion, considérant cet acte comme une haute trahison, partaient du principe des droits des peuples à préserver leurs acquis et leur unicité.

C'est d'ailleurs, le cas de ceux qui ont essciyé de justifier les camps de concentration, les fameux goulags dors l'ancien régime communiste de l'URSS.

A!ors.

peut-on dire que la liberté religieuse est une sorte «de relativisme»? Est-elle un «concordisme»? Estelle enfin «tolérance»? L'auteur, en répondant à ces questions, essaie de démontrer que la liberté religieuse n est pas un droit qu'on acquiert mais c'est une qualité qui caractérise l'homme; ce dernier ayant pour destin ou vocation ce représenter Dieu sur terre Donc, on ne peut pas parler de vie spirituelle véritable, sans parler de liberté religieuse.

L'homme s'est porté volontaire pour supporter le fardeau ae la représentation de Dieu sur ferre.

Il nous faut.

tous, juifs çhrçtiçns et musulmans, apprendre, sans toutefois faillir à nos spécifiques obligations, comment penser en commun à tout ce qui est partagé de l'héritage d'Abraham, sans poser une bombe à retardement dans l'autre camp Savoir, en définitive, se res-terences