نفقة المحضون في ظل التعديلات المستحدثة في قانون الأسرة الجزائري

Abstract FRE

Le législateur algérien a identifié aussi bien dans le Code pénal ou ses lois complémentaires telles la famille ou le droit de l'état civil un certain âge, pour que l'enfant doit être protégé contre les actes ou les événements qui sont exposés, nous constatons que la loi algérienne imposée pour protéger l'enfant tout au long de la période d'incubation fixée par l'âge de 16 ans maximum pour les garçons et 19 ans pour les filles, et devrait être décidée une pension alimentaire au profit de l'enfant jusqu'à la fin de ses études tandis que la fille reste bénéficière d'une pension alimentaire jusqu'à le mariage.

Face à taux de divorces en Algérie au cours de 2015 pour plus de 60 mille cas de divorce sont des effets plus en plus sur les enfants en raison d'échapper au père de dépenses et contraint la mère à recourir à des problèmes de négligence parentale, de nombreux couples abandonnent leurs responsabilités envers leurs enfants après leur divorce à leur femme, ils ne les fournissent pas de maisons ni une pension alimentaire permanente leur permettre de vivre dans la dignité, et parfois le père est en mesure de fournir les frais de subsistance pour eux, mais renoncer à ses responsabilités dès le divorce qui rend les enfants susceptibles d'avoir besoin et sont un fardeau pour la société.

Cela a conduit le législateur Algérien à protéger les intérêts des sous garde à la création de la soi-disant loi du Fonds de pension alimentaire afin d'assurer une vie décente et à protéger les enfants contre les mauvais traitements et la négligence du père et de ses devoirs envers ses enfants.